Genre: Rosa
Cultivars: 'Brigitte Bardot'
Famille: Rosacées
Classification: Rosier moderne
Le Rosier 'Brigitte Bardot' est un arbuste buissonnant au feuillage caduc. Il mesure 1 m de haut.
Remontant, il offre des grandes fleurs doubles au parfum léger. La floraison apparaît à partir du mois de mai et remonte jusqu'en octobre.
Très rustique, le Rosier 'Brigitte Bardot' tolère des températures hivernales de l'ordre de -15°C.
Il préfère un sol normal et une exposition ensoleillée ou mi-ombragée.
C'est un rosier très sain qui s'adapte à tous les emplacements du jardin.
Culture, entretien et taille des Rosiers
Afin que la culture et l'entretien des rosiers n'aient plus aucun secret pour vous, Rosier 'Brigitte Bardot' inclus, nous avons également mis en ligne un grand dossier: Tout savoir sur les Rosiers.
Dans ce dossier sur le jardinage, vous trouverez une série d'articles qui vous expliqueront dans le détail comment cultiver, entretenir, identifier, choisir et soigner les rosiers:
- Culture et entretien des Rosiers
- Classification des Rosiers
- Rosiers sauvages
- Rosiers anciens
- Rosiers modernes
- Choisir son rosier
- Maladies et parasites du Rosier
Par-delà le jardinage
En 1956, propulsée par la sensualité du film "Et Dieu... créa la femme", Brigitte Bardot s'impose en vedette internationale. Diffusé aux États-Unis, le film y connait un triomphe, à tel point que les producteurs américains et anglais veulent absolument la faire tourner. Seulement voilà, elle n'a aucune envie de jouer en anglais.
En 1967, alors que Sean Connery est au sommet de sa gloire, Brigitte Bardot est par exemple approchée pour tourner avec lui dans le film Shalako. Elle refuse sans même lire le scénario. Poussé par la production, son agent décide de passer outre son refus et signe pour elle. Ainsi contrainte, elle honore l'engagement, d'une manière qui va toutefois couper l'envie aux uns et aux autres de lui refaire ce coup. Elle est constamment en retard, ne travaille pas son rôle et ne se donne aucun mal pour promouvoir le film. Dans la foulée, elle refuse d'être la prochaine "James Bond girl" ("sans moi !") et de tourner avec Steve McQueen (1930-1980) dans "The Thomas Crown Affair", alors même que la production a fait monter les enchères jusqu'à 1 million de dollars.
Sa filmographie ne contient finalement qu'une poignée de productions anglophones. Aux sirènes hollywoodiennes, Brigitte Bardot a préféré Guitry, Verneuil, Clouzot ou Godard, apportant ainsi sa pierre à l'édifice du cinéma français.
