Genre: Rosa
Cultivars: 'Muriel Robin'
Famille: Rosacées
Classification: Rosier moderne
Le Rosier 'Muriel Robin' est un arbuste buissonnant au feuillage caduc. Il mesure 90 cm de haut.
Remontant, il offre des grandes fleurs doubles au parfum puissant. La floraison apparaît à partir du mois de mai et remonte jusqu'aux premières gelées.
Très rustique, le Rosier 'Muriel Robin' tolère des températures hivernales de l'ordre de -15°C.
Il préfère un sol normal et une exposition ensoleillée.
Ce rosier a obtenu la médaille d'argent à Baden-Baden.
Culture, entretien et taille des Rosiers
Afin que la culture et l'entretien des rosiers n'aient plus aucun secret pour vous, Rosier 'Muriel Robin' inclus, nous avons également mis en ligne un grand dossier: Tout savoir sur les Rosiers.
Dans ce dossier sur le jardinage, vous trouverez une série d'articles qui vous expliqueront dans le détail comment cultiver, entretenir, identifier, choisir et soigner les rosiers:
- Culture et entretien des Rosiers
- Classification des Rosiers
- Rosiers sauvages
- Rosiers anciens
- Rosiers modernes
- Choisir son rosier
- Maladies et parasites du Rosier
Par-delà le jardinage
Dans les années 1970, bien meilleure fêtarde que lycéenne, Muriel Robin rate deux fois son bac. Comme en plus elle ne semble pas avoir d'ambition particulière, ses parents décident qu'il est temps pour elle d'intégrer la vie active. Elle devient alors vendeuse de chaussures dans le magasin familial à Saint-Étienne, une bonne planque bien au chaud où elle s'ennuie terriblement.
En 1977, alors âgée de 22 ans, Muriel Robin plaque tout pour aller prendre des cours d'art dramatique à Paris. Elle commence par le cours Florent et est ensuite reçue au CNSAD (Conservatoire national supérieur d'art dramatique) où Michel Bouquet la prend sous son aile.
En 1981, elle intègre Les Baladins en Agenais, troupe aujourd'hui méconnue de Roger Louret où de nombreux comédiens et humoristes ont débuté, parmi lesquels Élie Semoun, Christophe Malavoy ou encore Christelle Chollet. Vient ensuite le Petit Théâtre de Bouvard où elle fait la connaissance de celui qui est aujourd'hui l'un de ses vieux complices, Didier Bénureau, avec lequel elle écrit et joue "Maman ou Donne-moi ton linge, je fais une machine" qui rencontre un certain succès. Elle se fait ensuite remarquer dans l'émission La Classe, mais surtout, elle se lie d'amitié avec Pierre Palmade qui la pousse à se produire en solo, ce qui donnera son spectacle "Les majorettes se cachent pour mourir". Elle acquiert alors une grande notoriété qui ne s'est pas démentie depuis.
