Rosier 'Tchaïkovski' (Rosa 'Tchaïkovski')
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En résumé
- Port: buissonnant
- Hauteur: moyenne (1 à 1,80 m)
- Remontant: oui
- Fleurs: doubles
- Feuillage: caduc
- Rusticité: très rustique (-20°C)
- Exposition: ensoleillée
- Floraison: printemps / été / automne
- Couleur: jaune / blanc
- Parfum: oui
Recherche globale
Genre: Rosa
Cultivars: 'Tchaïkovski'
Famille: Rosacées
Classification: Rosier moderne
Le Rosier 'Tchaïkovski' est un arbuste buissonnant au feuillage caduc. Il mesure 1 à 1,80 mètre de haut pour environ 1 mètre de large.
Remontant, il offre des grandes fleurs doubles légèrement parfumées. La floraison apparaît à partir du mois de mai et remonte jusqu'aux premières gelées.
Très rustique, le Rosier 'Tchaïkovski' tolère des températures hivernales de l'ordre de -20°C.
Il préfère un sol normal et une exposition ensoleillée.
C'est un rosier qui offre une bonne résistance aux maladies.
Culture, entretien et taille des Rosiers
Afin que la culture et l'entretien des rosiers n'aient plus aucun secret pour vous, Rosier 'Tchaïkovski' inclus, nous avons également mis en ligne un grand dossier: Tout savoir sur les Rosiers.
Dans ce dossier sur le jardinage, vous trouverez une série d'articles qui vous expliqueront dans le détail comment cultiver, entretenir, identifier, choisir et soigner les rosiers:
- Culture et entretien des Rosiers
- Classification des Rosiers
- Rosiers sauvages
- Rosiers anciens
- Rosiers modernes
- Choisir son rosier
- Maladies et parasites du Rosier
Par-delà le jardinage
En 1855, Piotr Tchaïkovski (1840-1893) est déjà passionné de musique. Il dirige une section de sopranos, chante et compose. Afin d'évaluer son potentiel, son père obtient que l'allemand Rudolph Kündinger (1832-1913), grand pianiste de l'époque, devienne son mentor.
Pour Kündinger, il est évident que Tchaïkovski n'a aucun avenir dans la musique. Il a une bonne oreille, sans plus. Découragé, Tchaïkovski devient fonctionnaire en 1859. Il rumine, écrivant à sa soeur "On a fait de moi un fonctionnaire". Mais en 1861, il reprend la musique. Harmonie, contrepoint, fugue, composition, instrumentation, piano, flûte... il étudie tout. En 1863, il démissionne pour s'y consacrer pleinement.
Il compose sa première symphonie en 1866 (Rêves d'hiver), la deuxième en 1872 (Petite Russie), son premier concerto pour piano en 1874, sa troisième symphonie en 1875 (Polonaise) etc. L'empereur Alexandre III (1845-1894) l'aide financièrement, tout comme Nadejda von Meck (1831-1894) qui devient sa principale mécène. Viennent ensuite Le Lac des cygnes, La Belle au bois dormant, Casse-noisette... Comme quoi, il avait plus qu'une bonne oreille, et depuis 2003 une rose à son nom.
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Publié par Claire Geslot sur Jardin Secrets le 02-04-2016